Affamé...

Caché derrière les épaix fourré,le renard gettait l'énorme chien couché par terre.Nous dirons plutôt affalé par terre.Les paupières tombantes de ce dernier trsauttait à son sommeil leger.Mais le renard était pascient,et surtout,pas trop suicidaire.Le soleil bougea dans le ciel d'un bleu éclatant.Il fesait vraiment beau.
Le chien ne bougeait plus,et sans un bruit,Never sortit de sa cachette,reocuvert d'épines et feuilles.Rapidement,tardant un regard inquiet sur le molosse,il se raprocha du batiment au poules.C'était pas la première fois qu'il venait la.C'était loin d'être un bel endroit,mais au moin,ca regorgeait de nourriture.Il traverssa la cour en silence,et se posta devant les première poules.
La cage était en bois,sauf sur le devant,composé de fin morceau de fils en plastique.La port était solidement vérouiller.Il fallait faire vite.Choisissant une cocotte endormie,il étudia la fermeture.C'était deux trous de la porte et du mur superposé.Habituellement,on fermait tout sa au cadna,mais surement n'avaient t'ils pas les moyen.La,c'était bloéquer par un solide morceau de bois,ou du fil de fer.En l'occurance,la,c'était du fil de fer.
Etroitement entortiller,Nevre tenta de l'arracher,sans oser faire de bruit,mais le fil tint bon.Déçu,il guetta un morceau de bois.L'unique accesible était pas très loin.Il trotinna vers la cage en question.La poule s'inquiéta,gigota dans sa cage.Mais déjà, le renard,sans perdre de temp,arracha brutalement le machin de bois.La poule poussa un cris strident.Never passa son museau par l'ouverture,et saisit la poule par le cou.Les abboyement du chien,derrière lui.Il détala vers l'autre côté,esperant de toutes ses forces une issue de secour.
Gagné!Et la porte était grande ouverte.Il la dépassa joyeusement,couant vers les fourrés,un sourire triomphant au lèvres,malgré le chien derrière lui.Mais il était trop lent,incapable de ratrapper l'éclair roux.

Le renard roux,filant comme l'éclair,sa volaille dans la bouche,il se éfugia dans un épais buisson,avant de jetter un rapide cout d'oeil par dessus.Personne.Parfait.Il posa le volatile sur le sol,le coinçant avec sa pattes,et referma ses crocs aiguë sur sa gorge.Proprement,rapidement,il lui tordis le cout.Après un bfre craquement,le corp flasque de la poule s'afaissa. Comme un expert,Never dépluma la poule,lui enlevant la peau par la même occasion.Il posa soignesement les parties imengeable à côté de lui,une idée en tête.Il dévora la poule,et saisissant ce qui restait de peau et de plumes,ainsi que ce qu'il avait méticuleusement enlever,et jetta un coup do'ueil méfiant.Le chien était toujours au centre de la cour ou Never l'avait laisser.Parfait.Le renard roux trotina vers une niche étroite,pas bien grande en bois,peinte en blanc et rouge.Devant,une gamelle vide,et une assiette à soupe remplie d'eau.Une asiette à moitier brisée t fendue.Never déposa le tout sur la gamelle en plastique gris,et s'éloigna comme il était venu,rejoignant discrètement son buisson.Il voulait voir sa:le chien se faire poursuivre par le fermier...

Mais Never tourna brusquement la tête vers la renarde.En étant ce qu'il était,il lui fallait entrainer ses sens,en particulier l'ouïe ou l'odorat,ainsi que la vue.Fondamental.
Le renard rouc sourit timidement à la renarde,et la voyant approché,fis de même.Il marcha à petits pas jusqu'a elle,la tête basse,et un doux sourire timide au lèvres.Son expresison était impécable,dans ses yeux une lueur de bontée brûlait.

Nevre la regarda faire.Le silhouette de la renarde lui tourna le dos.Il l'observa,avant d'avoir une moue de mépris et dégout.Mais que faire?Il fallait la mettre en confiance.Bien.Il se raprocha à petit pas,ses pattes griffant le sol de leur griffes.Le fermier alors tendis son bras tremblant,ou une peau usé et ridée se voyait.Il atrppa un bâton,une branche,et la frappa sur la tête de la renarde.Il s'écroula sur la paillasse,sa repsiration siflante et saccadée.Il soufrait.Le renard n'hésita pas.Il bondis.Elle n'était qu'assomer.Le vieux avait fermé les yeux.A l'aveuglette,il arracha un morceau de tissu,et en reocuvra son genoux ou le sang s'écoulait à gros bouillant,le sang si sombre qu'on dirais qui'l était noir roulant sur sa peau avec suavitée.Never observa quelques secondes le sang,liquide qui aimait tant voir couler,avant de saisir la renarde par la peau du coup.Elle était blessée,mais il ne regarda pas l'étendue de la blessure.Sans ménagement,il la tira,avec force.Peu de renard avait fais le voyages.Et il voulait du sang.Celui s'écoulant de victime,le même qui tacheras ses poils roux.Il ne pouvait perdre le moindre spéciment.La roulant sur le gravier et le terre,il tirait avec force.Mais il entendu un aboyement sonore,un grondement,et un nouveau jappement.Il tira avec plus de force,affolé.Il ne fallait pas que les chien,cet epèce de gros lourdaud,les atteignent.

Déjà,elle repris conaissance.Dédaigneux,il la lâcha,et attendis de pied ferme le chien,qui lourdeaux comme lui,arrivait lentement.Il était tout près.Il ouvrit les geules,et ses crocs usées se raprochèrent.Never,quand à lui,lui sourit,et lui fila entre les pattes.Il courut,pas trop vite pour donner envie au chien derrière lui.Il avait une idée en tête.Fixant le point ou je rendait,il sentais les crocs du chien se refermer sur sa queue,tout au bout.Il étouffa un cris de douleur,et courrut plus vite.Quelques poils s'aracuèrent,restant dans les dents du molosse.Never augmenta l'llure et pénétra dans le poulailler,ouvrant une maximum de cage sur son passage.Les poules,affolée,en sortait,et caquetant et battant follement des ailes.Never courut vers la porte de fond.Fermée.Une seur froide lui coula ur l'héchine,et il se retourna vivement,pour voir le chien,au prise avec les cocotes,pour les pouvoir avancer.Il eut un sourire amusé,méprisant.Le chien,les oreilles tombantes,se raprocha.Never,lentement,se replia vers le fond,ou il s'engoufra sous un tabouret.Le chien l'y suivit,mais trop gros,se coinça dedans et le tabouret grinça,gémit,et explosa.Never fila sans atendre,vers la sortie,trébuchant et repoussant les poules sur le chemin.il renversa meubles et sac de nouritures pour les poulets du vieux.

Never la suit,sans expresison sur son visage.
Ca va...Juste une folle envie d'énerver un vieil ennemi..."
il eut un sourire pas dès plus gentils,et s'assit face au rocher,observant la ferme.L'air êveur,il lui dit:
"Comment êtes vous arrivé ici?Rares sont ceux ceux qui ont le courage de s'y risqués..."

Il se mit à dire,d'un ton de la récitation:
"Je suis arirvée ici,avec les tout premiers renard.Nous sommes deux survivans.Je suis l'unique à être resté."
il se mordis la lèvre,l'image de sa défunte renarde morte dans son esprit.
Il n' pris garde.Il resterait fort,comme il le devait.

Il se mordis la lèvre,se retenant de se tourner vers elle,et lui hurler que sa famille,il l'avait tuer.Non,valait mieux pas.
"non...Ma mère est morte à ma naissance,et mon père est loin,maintenant."
Il avait parler bas,d'une voix chagrinée,imiter à la perfection.
"Et vous?Vous conaissez quelqu'un,ici?"
Il lui sourit gentillement,et jetta iun regard furtif vers le chien,qui grognait et aboyait,sans s'aprocher.Une leur de mépris passa dans son regard.Ce chiot était vraiment l'étoffe du molosse idiot.Il en était un,plutôt...

Elle conaissait deux renardes.Lui même en conaissait deux,en la comptant.Il l'observa,une lueur de vif interet dans le regard.Il ne répondit pas de suie,et quand il ouvrit la bouche pour répondre,elle lui posait déjà sa question.Un peu interlouqé,il ferma puis ouvrit la geule,avant de sourire à la renarde.
"Avec plaisir.Vous en profiterez pour me parlez un peu plus des deux renardes...Peut être que j'en connais une?"
Son sourire s'élargit,et avec un dernier regard aux molosse de la ferme,se tourna vers les arbres,derrière.

Il marchait doucement,regardant ses pattes,semblaient perdu dans ses pensées.
"Moi aussi j'ai recontré cette Moon Song...Elle n'a pas l'air comode."
Un leger sourir au lèvres,il poussa un soupir de bein être.

Il hocha la tête,et un silence troubler par les herbivores tomba.Souhaitant le briser,il continua:
"Ces vaches sont vraiment gênantes,n'est ce pas?"
Il eut un petit sourire,ayant posé sa question comme pour briser ce faux silence entre eux.

Il s'imobilisa à sa question,réfléchissant à toute vitesse.D'un côté,ca pouvait être avantageux,d'un autre,un vrai fiasco.
"Pourquoi pas...Mais ou?"

Il n'eut a peine le temp de réagir,mais déjà elle revenais.Il la suivit docilement vers le lac,l'air la tête ailleur.
"Moi?C'est Never Stay.Et vous?"
Il lui jetta un regard discret,et un leger sourire.